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Trilogie L'ange de la nuit de Brent Weeks

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DarkCiD
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DarkCiD

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Trilogie L'ange de la nuit de Brent Weeks Empty
MessageSujet: Trilogie L'ange de la nuit de Brent Weeks Trilogie L'ange de la nuit de Brent Weeks I_icon_minitimeJeu 26 Mai - 2:59

Présentation de la trilogie L'Ange de la nuit : de Brent Weeks.

==> L'ange de la nuit, tome1 : la Voie des ombres
Le tueur parfait n'a pas d'amis, il n'a que des cibles. Pour Durzo Blint, l'assassinat est un art et il est l'artiste le plus accompli de la cité, grâce à des talents secrets hérités de la nuit des temps. Pour Azoth, survivre est une lutte de tous les instants. Le petit rat de la guilde a appris à juger les gens d'un seul coup d'œil et à prendre des risques -comme proposer à Durzo Blint de devenir son apprenti. Mais pour être accepté, il doit commencer par abandonner son ancienne vie, changer d'identité, aborder un monde d'intrigues politiques, d'effroyables dangers et de magies étranges, et sacrifier ce qui lui est le pile précieux...
Sorti en poche le 20 mai 2011.

Brent Weeks, né en Arizona, passa quelque temps à parcourir le monde'
comme Caine, le héros de Kung Fu, à s'occuper d'un bar et à corrompre
la jeunesse (mais pas en même temps), avant de commencer à écrire sur des serviettes en papier de restaurants. Enfin, un jour, quelqu'un décida de le payer pour ça. Voici le coup d'envoi de, sa première trilogie, déconcertante de maîtrise, entre Robin Hobb, Scott Lynch et David Gemmell. A couper le souffle.

==> L'ange de la nuit, Tome 2 : Le choix des ombres
Le tueur parfait n'a pas de nom, il a plusieurs visages. Kylar Stern a renoncé à sa vie d'assassin. Son maître Durzo et son meilleur ami Logan Gyre, l'héritier du trône, ont trouvé la mort au cours de l'invasion brutale du pays par les armées du Roi-dieu. Kylar part s'installer dans une autre ville, fait de nouvelles rencontres et change de métier. Mais lorsqu'il apprend que Logan est toujours vivant, prisonnier dans une prison infâme où il doit cacher son identité, Kylar est confronté à un terrible dilemme : abandonner la voie des ombres à tout jamais et vivre heureux avec sa petite famille, ou bien replonger dans la violence et mettre à profit ses talents mortels pour sauver son pays et son ami... au risque de tout perdre.
Sortira en poche le 24 juin 2011.

==> L'ange de la nuit, Tome 3 : Au-delà des ombres
Le tueur parfait n'a pas de conscience, il a une mission. Cénaria est un royaume brisé et exsangue où règnent la famine et le désespoir. Il n'est plus défendu que par une armée misérable. Kylar Stern voudrait placer son ami Logan sur le trône, mais comment réussir sans recourir au meurtre? Au nord, le nouveau Roi-dieu a un plan. C'est de la pure démence mais, s'il parvient à le réaliser, personne ne pourra plus l'arrêter. Kylar a enfin appris le prix tragique de l'immortalité. Pour sauver ses amis, et peut-être même ses ennemis, il doit accomplir l'impossible: assassiner une déesse. S'il échoue, il condamnera la moitié d'un continent. S'il réussit, il perdra tout ce à quoi il tient.
Sortira en poche le 8 juillet 2011.

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Voici quelques avis critiques glanées ici et là, pour info, à propos du premier volume : (parce que 3 avis valent mieux qu'un !)
Attention aux spoilers ! affraid

flèche Premier commentaire :

Citation :
Pourquoi prometteur ? Hé bien dans le domaine de la «Fat Fantasy» qui étale ses descriptions sur des centaines de pages cumulées ce roman, bien que long, est plein de rebondissements, d'action physique et psychologique. Les surprises sont nombreuses et on a du mal à anticiper le cours de l'histoire (très bien ça !). Cependant ces qualités ont été obtenues au prix fort, celui de la cohérence de l'univers, des personnages mais aussi de l'intrigue.

Brent Weeks nous dépeint un univers de corruption, de pauvreté, de compromission et de sadisme, mais le livre commence en dépeignant l'intégrité du Duc Regnus Gyre qui refuse de contester par les armes la prise de pouvoir du futur Roi Aleine qu'il sait catastrophique. Cette droiture de la part des Ducs de Gyre (père ou fils) est d'ailleurs telle qu'elle les rend incapable de saisir la réalité politique (voire amoureuse) du moment.

Vous avez aussi un royaume établi, ses lois, son armée et sa police, toute inefficace qu'elle puisse être, qui tolère une pègre extrêmement puissante (Sa'kagé) au milieu de sa capitale qui contrôle les assassins les plus puissants qui soient, les wetboys (désolé la traduction de pisse-culotte est plus qu'erronée, elle est scandaleuse. Le plus proche serait Tueur à gage). Chaque royaume semble en effet produire un type bien particulier de magiciens (à l'exclusion de tout autre, pourquoi ?), et dans le royaume de Cenaria ce sont les wetboys qui sont ces magiciens. Leur talent les rend surhumains, plus rapides, plus forts, plus puissants que les autres et surtout capables de la plus extrême dissimulation. Chacun d'entre eux est donc capable de tuer quiconque, n'importe quand, n'importe où, peu importent les défenses. Quel Roi, quelle noblesse pourrait donc tolérer ceci ?

Et puis vous avez le royaume de Khalidor dont tout un chacun connaît la puissance et dont tout le monde attend l'invasion mais qui prend 10 ans pour le faire pour des raisons sans doute terriblement complexes mais qui impliquent l'envoi dans le cloaque de Cenaria d'un des héritiers de Khalidor ?

Quant aux personnages ils sont certes séduisants, hauts en couleur, tel le fameux wetboy Durzo Blint qui affirme en permanence que la vie n'a pas de sens et qu'il ne faut jamais s'attacher mais qui s'emploie pendant tout le roman à faire l'exemple du contraire ! En fait les principaux héros de cette histoire (Durzo, Momma K, Azoth et Jarl) sont censés être des salauds finis pour pouvoir survivre dans cet environnement délétère, mais ils se révèlent être, en grattant un peu, des héros au sens traditionnel, nobles, courageux et même aimants ! Je n'ai rien contre des personnages un peu gris, au contraire, mais là la noirceur ressemble à un peu de peinture noire appliquée sur les personnages.

Parlons également de l'intrigue, les meilleures d'entre elles semblent écrites par les personnages eux-mêmes, des auteurs disent parfois que leurs histoires leur échappent tellement les personnages se sont incarnés. Ce n'est pas vraiment le cas ici, des évènements improbables ou peu crédibles (comme l'apparition de l'amitié entre Logan et Azoth ou la bascule amour/haine incessante entre Azoth et Durzo) apparaissent simplement nécessaires au bon déroulement de l'histoire.

Et pourtant, je l'ai lu jusqu'à la fin, peut-être est-ce dû à cette action continue qui fait que ces incohérences sont passées au second plan. Il est vrai que vers la fin je ne tenais plus beaucoup compte des explications des uns et autres et que seul comptait la .... BASTOOOOOOOOOONNNNNNNNNNNNNNNNN !
Je ne lirai pas la suite mais je suivrai la prochaine série de cet auteur.
Lu en Anglais.

(Remarque : la question qui est posée par le site qui abrite tous ces commentaires est de savoir si vous avez trouvé cet avis utile, ce qui ne revient pas à dire si vous êtes d'accord avec l'opinion du commentateur. Il se trouve que je n'ai peut-être pas autant apprécié ce roman que vous-même. Ça ne veut pas dire que les défauts que j'ai relevés n'existent pas, simplement qu'ils ne vous ont pas affecté, nous avons tous un petit faible pour tel ou tel type de roman qui nous permet de passer par-dessus certaines imperfections. Il me semble cependant important que ces défauts soient relevés afin que chaque lecteur puisse se demander si ceux-ci lui sont supportables ou non.)

flèche Deuxième commentaire :

Citation :
Derrière une couverture brillamment réalisée par Frédéric Perrin, se cache le premier tome de la trilogie La voie des ombres de Brent Weeks. Best seller en version originale, le récit du bougre est présenté comme un mélange entre Robin Hobb (l'assassin royal) et David Gemmell (le lion de Macédoine).

Dans une ville aux quartiers découpés par activités et classes sociales (les pauvres à la rue, les riches dans les beaux quartiers surveillés et sécurisés), de multiples groupes s'affrontent pour obtenir le contrôle de la cité. Les petites guildes de gamins chapardeurs ou mendiants cotoient le groupe des Neuf -réelle direction de la cité-, les nobles et le roi. Dans cette boîte de Petri, terreau de toutes les intrigues, Azoth, gamin voleur des rues, croise l'ombre de Durzo Blint, pisse-culotte invincible.
Ce dernier ne tâche pas ses chausses, au contraire, cette dénomination le désigne comme un impitoyable assassin pour qui tuer est un art. Peut-être est-ce une façon élégante de décrire la réaction de ses victimes ?

Azoth souhaite devenir l'apprenti du maître des ombres. Vie pitoyable, racket incessant, insécurité perpétuelle, impuissance à empêcher son meilleur ami de se faire violer nuit après nuit par le chef de guilde... Tous les éléments sont assemblés : pour se sortir de cette situation, y a-t-il meilleure opportunité que celle de devenir un pisse-culotte, c'est à dire un homme prêt à tout affronter, insensible à la peur, prompt à se défendre ?

Brent Weeks ne fait pas dans la dentelle, l'univers est cru, évoquant putes, viols, souffrances et mort, tout en gardant assez de retenue pour que le récit reste divertissant. Le monde d'Azoth est dangereux et impitoyable, mais le héros s'en sort toujours, ayant une nature résolument optimiste malgré ce qu'il aimerait laisser penser.
Faisant écho à cette sombre vision, le langage du livre n'est pas des plus châtiés, parfois assez vulgaire, apportant une véracité renforcée à l'ensemble, et permettant à l'action de se dérouler sans subir aucun retard.

C'est bel et bien ce qui fait la moelle de l'Ange de la nuit : l'action. Brent Weeks ne joue pas à mimer Tolkien, il évite tout ce qui peut donner lieu à plus de trois lignes de descriptions. Conséquence immédiate : on ne s'ennuit jamais, on est parachuté au coeur de l'intrigue, parfois même on ne comprend pas pleinement de quoi il est question, jusqu'à ce qu'un dialogue ou un geste délivre son savoir.
C'est assez efficace, tout en empêchant de conceptualiser le récit. On subit ce qui se passe, on peut difficilement souffler voire même prédire la suite de l'aventure. On regarde, on assiste, on reste sans voix, surpris pas des retournements de situations pas forcément très ingénieux... et parfois, au contraire, forts bien menés.

Si tout semble noir et blanc au début, le récit se métamorphose progressivement, en même temps que les personnages grandissent et se découvrent, pour aboutir à une trame grise mais pas terne, qui ajoute une profondeur certaine à une histoire que l'on pourrait au premier abord qualifier de standard de Fantasy. Le coup de l'assassin et de l'apprenti, on nous l'a déjà fait. Celui du mauvais homme qui se repent aussi. Ici, c'est un peu des deux, sans pour autant chercher l'imitation.

Brent Weeks, s'il n'est pas un grand tisseur d'univers et s'il n'est pas le meilleur à créer de l'empathie autour de ses héros, sait s'écarter des sentiers battus en partant de postulats déjà rencontrés ailleurs, associer avec brio toutes ses ficelles, et ainsi proposer une oeuvre cohérente et prenante, finalement assez éloignée des stéréotypes du genre.

flèche Troisièmme commentaire :

Citation :
La Voie des Ombres de Brent Weeks est souvent comparé à l’Assassin Royale sur le net. Mais la seule ressemblance que j’ai trouvé, est la formation d’un assassin pris alors qu’il était enfant. Pour le reste, il n’y a aucune ressemblance et aucun des deux ne mérite d’être comparé à l’autre. Et j’ai une nette préférence pour ce tome 1, intitulé L’ange de la nuit de La voie des ombres.

J’ai découvert avec ce livre qu’il existait une catégorie de lecture consacrée aux 15-35 ans. Chose surprenante. Qu’il existe une catégorie enfants, ado et adultes, je le comprends, bien que les catégories ados soient plus là pour rassurer les parents. Personnellement, à 10 ans, je piquais en cachette les Stephen King dans la bibliothèque de ma mère et Shining reste mon livre d’horreur préféré même après toutes ces années.

Mais bon, je ne vois pas pourquoi cette catégorie s’arrête aux 35 ans. Au dessus de 35 ans, on n’est plus censé s’intéresser à la fantasy ? Et puis perso, je ne suis pas sûre d’apprécier de faire lire à mon adolescent un livre où les petits garçons se font violer par d’autres garçons… Parce que c’est le cas dans La Voie des Ombres. C’est un livre dont le contexte est très sombre et pourtant, il n’en ressort pas vraiment d’ambiance de désespoir. C’est quelque chose que je regrette et qui aurait pu donner un large plus à ce livre. Ou alors, je me suis révélée particulièrement insensible et je n’ai pas du tout ressenti l’ambiance que je recherchais.

Ce livre se veut sombre, ça ne fait aucun doute. Dans un pays menacé par ses voisins, vivent dans les bas-fonds de la capitale des bandes d’enfants qui font de leur mieux pour survivre. Azoth est l’un de ces enfants. Avec son ami Jarl, ils font de leur mieux pour survivre et protéger une petite fille joliment nommée Poupée. Les protéger des adultes, mais aussi du Poing, un autre enfant qui est le second du chef de la bande. Le Poing que tout le monde craint par sa cruauté, sa facilité à donner des coups et surtout la manie qu’il a d’asservir ceux qui lui déplaisent en les violant. Mais la route d’Azoth croise celle d’un pisse-culotte qui sont la version améliorée des assassins et il fait tout pour qu’il le prenne à son service. Je vous passe les détails des circonstances du passage de gamin des rues à apprenti assassin, mais déjà, la personnalité d’Azoth déçoit un peu. Je n’ai pas réussi à vraiment ressentir les souffrances, les incertitudes de l’enfant, ni l’horreur, ni la culpabilité.

Une bonne grosse partie du livre sera dédiée à l’apprentissage de l’enfant tout en mettant en place lentement mais sûrement les éléments et personnages qui feront la dernière partie du livre. Parce que comme je le disais plus haut, ce pays subit la menace d’un autre qui a une manière un peu particulière d’envahir les territoires désirés. Une manière particulière mais efficace dont je tairais les détails parce qu’elle se comprend au fur et à mesure de la mise en place de l’intrigue pour se révéler totalement à la fin. Mais autant tout de suite vous dire que cette dernière partie est vraiment excellente. C’est le seul moment où j’ai été tenue en haleine et où j’ai compris l’importance de certaines choses racontées et de certains personnages.

Mais revenons à Azoth qui est notre personnage principal et qui est malheureusement un peu trop fade à mon goût. Lutin m’a dit un jour qu’un personnage principal n’a d’intérêt que par les personnages secondaires qui l’entourent. Bon, j’avoue, il ne me l’a pas aussi bien dit, mais l’idée générale y est. Et bien dans ce livre, c’est effectivement le cas. Les personnages secondaires sont particulièrement riches et complexes et cachent pour beaucoup très bien leur jeu qu’on découvre au fur et à mesure. J’en suis venue à considérer Azoth comme un simple fil conducteur. C’est à travers son apprentissage qu’on découvre ces personnages, au cours de son apprentissage que certains éléments de l’intrigue se mettent en place jusqu’au dénouement final auquel il participe. Auquel chaque personnage mis en place participe.

Et la fin indique une suite, mais pas forcément pour Azoth. Une suite pour le jeune duc trop vertueux et gentil qui se jette dans la fosse où sont enfermés les criminels les plus monstrueux pour échapper à ses poursuivants. Une suite pour sa jeune épouse qui… Je ne dirais rien à ce sujet, cette phrase seule suffit à vous dévoiler un élément important quand vous lirez le livre. Une suite pour les 2 compères guidés par leur ami voyant, aussi imprévisible qu’efficace et qui s’évertue à les mettre dans le pétrin sans vraiment les en avertir. Une suite pour cette ville envahit par un ennemi…

C’est le problème avec les livres de fantasy, il y a souvent une suite. -_- Et il faut les attendre et les acheter les suites… Surtout les attendre en fait. Je vais finir par faire comme ma mère, je n’achèterai les livres que quand la série sera fini et comme ça je prendrais tous les tomes d’un coup. Mais mon compte en banque ne me permet pas ça. :b

Voilà qui me donne une grosse envie de lire cette trilogie... rire2
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Renji
Zéro Absolu
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Renji

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Date d'inscription : 22/08/2010

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MessageSujet: Re: Trilogie L'ange de la nuit de Brent Weeks Trilogie L'ange de la nuit de Brent Weeks I_icon_minitimeJeu 26 Mai - 10:35

Elle me plait bien cette trilogie sur un assassin. J'aime ce genre d'histoire sombre. Je la lirai peut être.
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Trilogie L'ange de la nuit de Brent Weeks

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